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Le programme Formations ouvertes pour le renforcement des compétences, de l’emploi et de l’entrepreneuriat dans le numérique (FORCE-N), mis en place par l'Université numérique Cheikh Hamidou KANE (UN-CHK ex UVS) avec l'accompagnement de Mastercard Foundation, offre à tous les jeunes âgés de moins de 36 ans la possibilité d'intégrer un programme novateur dédié à l'emploi et à l'entrepreneuriat numérique. 

Ce programme est 100% gratuit et aucune condition de diplôme n'est exigée.

 

Il est structuré autour des étapes suivantes : 

  • l'accompagnement à la formulation de son Projet personnel et professionnel 
  • le renforcement des compétences techniques autour de métiers du digital 
  • l'accompagnement au développement ou au renforcement des compétences transversales (soft skills) du point de vue personnel et pour l'employabilité 
  • l'accompagnement à l'insertion professionnelle 
  • l'accompagnement à l'entrepreneuriat numérique 

Les conditions requises pour participer au programme d'accompagnement sont les suivantes : 

  • avoir entre 18 et 35 ans ;
  • être à la recherche d'opportunités professionnelles ;
  • être disponible et motivé pour suivre le programme d'accompagnement proposé.

La date limite de soumission des candidatures est fixée au dimanche 17 Mars 2024, à 23h59mnLes candidatures féminines sont vivement encouragées.

 

L'appel à candidature y relatif est consultable via le lien ci-contre : https://www.unchk.sn/wp-content/uploads/2024/02/Admission_au_programme_daccompagnement_Force-N.pdf.

 

Pour plus d'informations sur le programme d'accompagnement, visiter le site dédié accessible via le lien ci-contre : Le programme d’accompagnement. – FORCE-N.

En Afrique, le paludisme est la maladie la plus mortelle. A côté des traitements innovants et des vaccins, les sciences mathématiques et les technologies peuvent également participer à la riposte contre cette maladie.

L’Institut africain des sciences mathématiques (AIMS) a ouvert les candidatures pour un programme de formation sur la modélisation du paludisme. Le programme de niveau master est couvert par un programme de bourses. Des bourses partielles et totales seront offertes aux candidats retenus. Celle-ci couvriront les frais de scolarité et l’hébergement.

Les candidats peuvent être des citoyens de tous les pays d’Afrique. Ils doivent être titulaires d'un baccalauréat en mathématiques, en épidémiologie ou dans toute discipline scientifique/génie comportant une composante mathématique importante, ainsi que de solides compétences en mathématiques, en leadership et en service communautaire.

Le master se déroule sur trois semestres. Il aborde divers modules tels que l’informatique, la programmation R, la science des données sur le paludisme, le diagnostic, médicament et vaccin contre le paludisme, la bioinformatique, etc. Ces modules permettront aux apprenants de construire un ensemble standard de compétences en estimation, calcul, approximation, modélisation, analyse de données et statistiques.

Cette formation a pour objectif de combler le fossé entre la modélisation académique et les besoins opérationnels. Cela afin d'aider l'Afrique à construire des  politiques de santé publique durables.

La date limite des candidatures est fixée au 14 avril.

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Pour assurer le pari de sa transformation numérique, l’Afrique a besoin d’une main-d’œuvre qualifiée. Ce défi, la Smart Africa Digital Academy en a fait sa mission en se consacrant à la formation digitale des décideurs africains d’aujourd’hui et de demain.

Smart Africa, une alliance de pays africains, d'organisations internationales et d'acteurs du secteur privé mondial chargés de l'agenda numérique de l'Afrique, a reçu une subvention de 20 millions de dollars pour l’expansion de son académie digitale, Smart Africa Digital Academy (SADA), en Afrique.

« Aujourd'hui, j'ai le plaisir d'annoncer que SADA, notre outil de renforcement des capacités, est prêt à franchir une nouvelle étape grâce à notre principal partenaire de développement, la Banque mondiale », a fait savoir le président de Smart Africa, Lacina Koné (photo, à droite), dans un communiqué publié le mercredi 28 février.

La SADA a pour mission de combler le déficit de compétences numériques dans les pays africains, en améliorant l'employabilité et en répondant aux besoins de talents émergents des citoyens africains. L’académie qui propose des formations en ligne, revendique déjà avoir formé plus de 7 000 bénéficiaires dans 35 pays d'Afrique depuis sa création en 2020. Grâce à la subvention, elle pourra passer à un autre niveau et étendre ses activités sur tout le continent, avec un objectif de formation de 30 000 responsables politiques et décideurs sur une période de cinq ans.  

Cette expansion de la SADA s’inscrit dans le cadre du Programme régional d'intégration numérique de l'Afrique de l'Ouest (WARDIP), afin de faire progresser l'intégration régionale des marchés numériques en Afrique. Elle fera grandir un écosystème numérique dynamique et donnera aux communautés locales et aux entreprises les moyens de prospérer à l'ère du numérique.

Pour l’Afrique, disposer de compétences numériques, principalement parmi les décideurs, est devenu impératif si le continent veut tirer profit de la transformation numérique.

Pour aider les femmes africaines à saisir les opportunités de l’industrie technologique, She Code Africa va mettre en œuvre un programme de formation au développement et à la gestion des produits. Le programme financé par FedEx veut toucher 100 000 femmes d’ici 2030.

Le programme She Code Africa a annoncé un partenariat avec le transporteur de fret aérien FedEx visant à lancer un programme de formation dans les technologies destiné aux femmes africaines. She Code Africa, chargé de la mise en œuvre du programme, a lancé un appel à candidatures ouvert aux femmes de tous les pays du continent.

Le programme ne prend en compte que les femmes passionnées de technologies âgées de 18 à 45 ans. Il propose deux parcours de formation. Un parcours d’ingénierie de 2 à 3 mois qui comprend une gamme de cours techniques essentiels, du génie logiciel (Web et mobile) à l'ingénierie cloud, en passant par la science des données et l'analyse des données, ainsi que l'ingénierie matérielle telle que la robotique.

Le deuxième parcours comprend des bootcamps de formation complets de 2 à 3 mois spécialement conçus pour donner aux femmes africaines les connaissances et l'expertise dont elles ont besoin pour concevoir et gérer des produits.

Le programme financé par FedEx propose également un mentorat de carrière pour une orientation personnalisée, un stage rémunéré d'un mois pour une application réelle, et des opportunités d'embauche avec des entreprises technologiques de premier plan.

L’objectif du programme est de permettre aux femmes africaines de tirer profit de l’industrie technologique qui offre des opportunités professionnelles sur le continent. D’ici 2030, le programme entend former et insérer 100 000 jeunes filles et femmes.

L’appel à candidatures est ouvert jusqu’au 8 mars.

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En Afrique, les problèmes de gouvernance sont l’un des principaux défis des administrations publiques. Ces problèmes persistent, en partie, en raison du manque de compétences des travailleurs dans le domaine.

L'Initiative africaine pour la gouvernance (AIG) a lancé un appel à candidatures pour un programme de formation destiné aux travailleurs du secteur public en Afrique. Organisée en collaboration avec la Blavatnik School of Government de l'université d'Oxford, la formation axée sur la gouvernance va aborder des thèmes sur la politique publique, la technologie digitale et la communication, la prise de décision, l’efficacité organisationnelle et l’intégrité.

La formation s’adresse aux citoyens des pays d’Afrique qui exercent sur le continent. Ceux-ci peuvent être des hauts fonctionnaires des départements gouvernementaux, des agences, des ministères ou des organisations multilatérales. En outre, les candidats doivent avoir une expérience professionnelle d’au moins sept ans, être âgé d’au plus 50 ans, et avoir une bonne connaissance de la langue anglaise.

La formation débutera en octobre 2024. Après des semaines d'enseignement mixte, les participants au programme disposent d'une fenêtre de temps pour développer un projet de synthèse, leur permettant d'appliquer les principaux apprentissages du programme dans leur travail quotidien.

Le programme veut aider les participants à maîtriser une série de nouvelles compétences, aussi rapidement que possible, pour leur permettre de maintenir des performances exemplaires dans leur rôle actuel. En augmentant les compétences de gouvernance sur le continent, l’AIG s’inscrit en phase avec l’Union africaine qui compte le déficit de gouvernance parmi les principaux défis des administrations publiques en Afrique.

La date limite des candidatures est fixée au 30 avril.

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Pour aider les professionnels africains à concevoir des projets pour le changement sur leur continent, le programme de bourse Afrika Kommt met en relation ces derniers avec des entreprises en Allemagne. Un procédé qui permet aux boursiers de bénéficier d’une formation associant théorie et pratique.

Le programme de bourses allemand Afrika Kommt a lancé les candidatures pour l’année 2024. Bien qu’il ne soit pas un programme universitaire, Africa Kommt combine théorie et pratique à travers des formations en management et une phase de stage dans une entreprise allemande. Le parcours d'apprentissage comprend également divers modules de formation conçus sur mesure. Ce cycle d'apprentissage vise à équiper les boursiers pour faire d’eux des leaders dans leur secteur d’activité.

Afrika Kommt est ouvert aux candidats de tous les pays africains. Les candidats doivent être de jeunes professionnels ayant entre 2 et 5 ans d'expérience dans un domaine de développement pertinent, avoir au maximum 35 ans et une bonne connaissance de l’anglais. Avoir un diplôme universitaire ou un MBA serait un avantage pour les candidats.

Afrika Kommt est entièrement financé par les entreprises allemandes participantes. En tant que boursier, tous les frais liés à votre participation au programme de bourses seront couverts (vols, hébergement, allocation mensuelle, formations, cours de langue).

Le programme Afrika Kommt cherche à mettre en relation des entreprises allemandes de premier plan et des professionnels africains. Cela afin d’aider ces derniers à concevoir des initiatives de changement qui cherchent à résoudre les défis sociaux et économiques de leur pays.

La date limite des candidatures est fixée au 24 mars.

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Dans un monde de plus en plus connecté, la nécessité d’un internet plus sûr et plus responsable pour les jeunes utilisateurs n’a jamais été aussi cruciale. C’est dans cet esprit que l’association Synergie pour l’Éducation au Numérique et aux Médias (SENUM), en collaboration étroite avec l’opérateur FREE, a pris l’initiative d’organiser le Safer Internet Day à la Maison des Cultures Urbaines de Ouakam.

 

Cette journée d’action  symbolise un engagement fort en faveur de l’adoption de pratiques numériques plus sûres par les jeunes . Selon Maimouna Leye Diakhaté, présidente de SENUM, « l’objectif est d’équiper les jeunes avec les connaissances et les outils nécessaires pour naviguer en toute sécurité sur internet, tout en les encourageant à devenir des vecteurs de changement positif dans leur communauté.»

En effet, l’événement a regroupé  175 élèves provenant de 25 clubs des académies de Pikine-Guédiawaye, Rufisque et Dakar. Ils ont participé  à une série d’activités conçues pour éveiller leur conscience aux enjeux de sécurité en ligne allant des ateliers interactifs, des séances de sensibilisation aux dangers tels que le cyberharcèlement, et des échanges enrichissants avec des professionnels aguerris de la sécurité en ligne.

En partenariat avec l’opérateur FREE SENEGAL, la  journée a également permet  l’élaboration d’une charte d’engagement pour un usage responsable de l’internet et la mise en place d’un réseau d’ambassadeurs dédiés à promouvoir un internet plus sûr souligne la présidente.

Pour rappel, le Safer Internet Day  est plus qu’un événement ; c’est une démarche vers un avenir où les jeunes sont non seulement protégés des dangers d’internet, mais aussi habilités à exploiter pleinement son potentiel pour le bien commun.

Les promoteurs de start-up, utilisant l’intelligence artificielle dans le domaine de la santé, peuvent postuler pour participer à l’accélérateur Google visant à leur donner des compétences essentielles et faire évoluer leurs entreprises. 

Google a ouvert les candidatures du programme Growth Academy, un programme offrant aux fondateurs de start-up de la santé et du bien-être des compétences de croissance essentielles, des stratégies d'internationalisation et des outils Google pour les aider à évoluer et à innover de manière responsable.

Le programme est ouvert aux start-up d’Afrique, d’Europe et du Moyen-Orient. Elles doivent être de série A, mais cherchant à se développer à l'international.

Le programme d’une durée de trois mois comprend une formation virtuelle en leadership sur mesure conçue pour améliorer les compétences en gestion et un accompagnement sur l'IA, la stratégie d'entreprise et de produit.

Il comprend aussi des d'événements de mentorat et de réseautage, un programme aide les fondateurs à développer des stratégies basées sur les données pour acquérir de nouveaux clients et partenariats, des outils pour innover de manière responsable avec les technologies émergentes et se développer sur de nouveaux marchés.

Le programme est hybride avec deux moments en personne de deux jours chacun. Ces moments seront obligatoires pour au moins un co-fondateur.

Après les trois premiers mois de contenu de base, les start-up continuent de bénéficier d'un support produit et d'un mentorat de Google pour les aider à relever leurs défis.

La date limite des candidatures est fixée au 1er mars.

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Pour l’année 2024, l’ONU propose son programme de formation sur le sujet du droit international. Cette formation mise en œuvre en partenariat avec l’Académie de La Haye veut donner aux professionnels de la discipline une opportunité de renforcer leurs compétences sur le sujet. 

Les Nations unies ont ouvert les candidatures pour un programme de bourse en droit international destiné aux professionnels de la discipline. Ceux-ci peuvent être des fonctionnaires gouvernementaux, des enseignants de droit international provenant de pays en développement et de pays à économie émergente.

Le cours est couvert par un programme de bourses qui prend en charge les frais de voyage, l'hébergement, l'assurance médicale, la participation au programme, les frais d'inscription à l'Académie de droit international de La Haye. Les participants recevront également une allocation pour couvrir les autres frais de subsistance. Les candidats qualifiés mais non boursiers peuvent également postuler pour des postes autofinancés.

Pour les deux types de candidats, les conditions d’éligibilité sont les mêmes : il faut avoir une formation juridique et une expérience professionnelle dans le domaine du droit international. Le programme de bourses se déroulera en anglais en 2024. La maîtrise de l'anglais parlé et écrit est requise. Les candidats dont la langue maternelle ou d’enseignement n’est pas l’anglais doivent attester de leurs aptitudes dans cette langue.

La formation se déroulera du 1er juillet au 2 août 2024. Elle sera dispensée par des experts sur une large gamme de sujets fondamentaux de droit international, à l’instar du droit des traités, du droit de la responsabilité internationale, du droit diplomatique et consulaire, de la paix et sécurité internationales, du règlement pacifique des différends internationaux, du droit international des droits de l’homme, du droit de la mer, du droit international humanitaire, du droit international pénal, du droit international de l’environnement, du droit international du commerce et du droit international des investissements.

A travers cette formation, les participants auront l’opportunité de parfaire leur connaissance du droit international et des activités juridiques des Nations unies. La formation sera mise en œuvre par la Division de la codification du Bureau des affaires juridiques des Nations unies et l’Académie de droit international de La Haye.

La date limite de candidature est fixée au 22 mars.

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  1. nstitut Supérieur de Management (ISM) : L'ISM est une école de gestion réputée au Sénégal, offrant des programmes de qualité dans divers domaines liés à la gestion.
  2. École Supérieure Multinationale des Télécommunications (ESMT) : L'ESMT est spécialisée dans les domaines des télécommunications et de la gestion, offrant des programmes axés sur les technologies de l'information et de la communication.
  3. École Supérieure de Commerce (ESC) de Dakar : L'ESC de Dakar propose des programmes de commerce et de gestion, avec une réputation solide dans le domaine de la formation en management.
  4. École Nationale d'Économie Appliquée (ENEA) : Bien que centrée sur l'économie, l'ENEA offre également des formations en gestion et en administration des affaires.
  5. Institut Africain de Management (IAM) : L'IAM est une institution privée offrant des programmes de gestion dans divers domaines, y compris le marketing, la finance et les ressources humaines.

Avant de prendre une décision, je vous recommande de vérifier les programmes spécifiques offerts par ces écoles, les retours d'anciens élèves, et les dernières évaluations pour vous assurer que l'école correspond à vos besoins et objectifs académiques.